Dans cette vidéo, vous découvrirez :
Je suis Maryse Lehoux, 49 ans, youtubeuse à succès et influenceuse avec une chaîne Youtube de +200 000 abonnés, entrepreneure dans la santé souveraine et le bien-être depuis maintenant 16 ans, et… Moi aussi, j’ai traversé cet enfer.
Malgré toutes mes connaissances, la périménopause a été un raz de marée pour mon corps.
Alors que j’avais pris très grand soin de ma santé pendant plus de 20 ans, que j’étais végétarienne, que j’avais un poids santé constant et que je faisais du yoga tous les jours (ou presque !), mon corps a accumulé 35 livres (16 kilos) en moins d’un an.
En pleine fusion d’entreprise, je vivais une période à la fois excitante et stressante, et mon corps a complètement déliré.
Au début, j’ai vu 5, 10, 15 livres s’ajouter sur le pèse-personne, et je n’y ai pas trop fait attention.
Je me disais que, comme d’habitude, ce serait facile à laisser aller.
Mais j’ai soudainement eu la désagréable impression que les kilos s’accumulaient plus rapidement que ne montaient et redescendaient les marées.
J’ai eu beaucoup de chance pendant cette période. L’amour de mon chéri a continué de grandir, et il aimait mon corps avec autant de passion qu’avant ma prise de poids.
Mais moi, je n’étais pas bien dans ma peau. Je ne me sentais plus attirante et sexy.
Je me sentais lourde.
J’avais perdu mon agilité.
J’étais souvent très fatiguée.
Lorsque j’ai développé une capsulite, l’état de mon corps s’est encore plus dégradé parce que j’avais beaucoup de difficulté à bouger sans douleur.
« C’est la ménopause… » me disaient les médecins et les spécialistes avec un regard de pitié et de résignation – comme si c’était la fin de ma vie.
J’ai même commencé à manger mes émotions – ce que j’avais rarement fait depuis l’intégration du yoga dans ma vie…
J’ai commencé à me sentir serrée dans mes vêtements, et même mes pantalons de yoga extensibles ne me faisaient plus.
J’ai dû aller magasiner et je dois avouer qu’encore là, l’expérience n’a pas été très agréable…
Les seuls vêtements qui me faisaient étaient ceux qui avaient une coupe de « matante » ou de « mamie ».
Et j’avais l’air d’une femme enceinte d’au moins 6 mois.
Alors que mon poids n’avait jamais vraiment été une préoccupation, j’ai commencé à vouloir me libérer de mon surplus de poids et surtout de mon ventre apparent.
Si vous lisez cette lettre, vous comprenez sûrement ce que je veux dire.